Stephanie Temma Hier représentée par Bradley Ertaskiran

Bradley Ertaskiran est ravie d’annoncer la représentation de Stephanie Temma Hier.

Le travail de Stephanie Temma Hier se situe à l’intersection de la peinture et de la sculpture. L’artiste crée de méticuleuses peintures figuratives ayant pour sujet des fruits ou autres produits comestibles, qui sont par la suite logées dans des cadres en céramique complexes. Le vocabulaire pictural employé par l’artiste provient à la fois de vanités datant du siècle d’or néerlandais, d’images d’archives web ainsi que d’éléments de la culture pop. L’association des éléments du cadre et de la peinture crée de nouvelles interprétations, aussi riches en références historiques que légères dans leur appropriation de la culture populaire. La démarche d’Hier nous rappelle qu’aucune image ou concept n’existe sans contexte.

Stephanie Temma Hier (née à Toronto, Canada en 1992) vit et travaille aujourd’hui à Brooklyn (New York). Elle est titulaire d’un baccalauréat au Ontario College of Art and Design University (Toronto) et elle a suivi une formation à l’Academy of Art Canada (Toronto). L’artiste a présenté plusieurs expositions personnelles, notamment à Gallery Vacancy (Shanghai), Franz Kaka (Toronto), David Dale (Glasgow), Y2K Group (New York), Downs and Ross (New York) et Neochrome Gallery (Turin). Elle a participé à de nombreuses expositions collectives, telles qu’à Nino Mier Gallery (Los Angeles), Arsenal Contemporary Art (New York), Fisher Parrish (Brooklyn), Three Four Three Four (Brooklyn), Galerie Antoine Ertaskiran (Montréal), Thierry Goldberg (New York), la Galerie Plus One (Anvers), Anonymous Gallery (Mexico), Bureau (New York), The Kitchen (New York), Museo della Frutta (Turin), The Power Plant (Toronto), Art Gallery of Ontario (Toronto) et Johannes Vogt (New York). Hier fut finaliste du concours de peinture RBC en 2016 et 2018. Au cours de sa carrière, Hier a reçu de nombreuses subventions du Conseil des Arts du Canada et de la Fondation Elizabeth Greenshields. Elle a participé à des résidences à Hospitalfield (Écosse), Shandaken: Stormking (New York).

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Marie-Michelle Deschamps et Celia Perrin Sidarous dans Le Devoir

Jérôme Delgado discute des œuvres collaboratives présentées dans le cadre des expositions Flotsam et Oasis, de Celia Perrin Sidarous et Marie-Michelle Deschamps respectivement.

Les deux amies avaient leurs solos programmés à cette enseigne en même temps — expos qui viennent d’être démantelées — et ont décidé de réaliser trois œuvres collectives. «On voulait que nos pratiques se rejoignent dans les espaces communs», raconte Marie-Michelle Deschamps, en parlant du hall d’entrée et des corridors.

Dans ces lieux «interstices», elles ont placé les œuvres Bouquet, marquées du motif floral. «C’est l’idée d’une offrande, d’un échange», explique Celia Perrin Sidarous. Deux de ces bouquets fusionnent la photographie propre à elle et le travail en céramique de sa partenaire, l’image de l’une posée sur un socle, des retailles en émail de l’autre par-dessus.

Jérôme Delgado, Le Devoir, 20 mars 2021

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Dawit L. Petros, finaliste au Prix de photographie Banque Scotia 2021

Le Prix de photographie Banque Scotia vise à souligner les réalisations d’un artiste bien établi en milieu ou en fin de carrière et à le soutenir dans sa quête d’une plus grande reconnaissance nationale et internationale. Le Prix de photographie Banque Scotia est la plus importante et la plus prestigieuse récompense canadienne annuelle visant à reconnaître la contribution exceptionnelle d’artistes à la photographie et l’art contemporains.

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Joseph Tisiga dans Le Devoir, un article signé Marie-Ève Charron

À lire dans Le Devoir : Marie-Ève Charron signe ici un article qui porte sur l’exposition de Joseph Tisiga, présentée du 7 novembre au 19 décembre, 2020 à la galerie.

Pour l’artiste lauréat du prix Sobey en 2020, les récits personnels sont l’amorce d’une mythologie inventée à travers laquelle il explore la construction des identités culturelles, revisitant les images produites par le regard colonial ou des interactions entre Autochtones et allochtones. 

Marie-Ève Charron

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Acquisition de deux oeuvres de Shaan Syed par le Musée des beaux-arts du Canada

Bradley Ertaskiran est heureuse d’annoncer l’acquisition de ces deux oeuvres de Shaan Syed par le Musée des beaux-arts du Canada.

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gauche :
Double Minaret (with Sew Steps) 2, 2018
Huile sur toile cousue
294.5 x 244 cm (116 x 96 in.)

droite :
Double Minaret (with half sewn disk), 2018
Huile sur toile cousue
294.5 x 244 cm (116 x 96 in.)

Dawit L Petros représenté par Bradley Ertaskiran

Bradley Ertaskiran est ravie d’annoncer la représentation de Dawit L. Petros.

Le travail de Dawit L. Petros s’inspire de recherches portant sur le global modernisms, la diaspora et les études postcolonialistes. Au cours des dernières années, l’artiste s’est consacré à faire une relecture critique des relations qui lient le colonialisme au modernisme. Ces préoccupations découlent d’expériences vécues: né d’émigrants érythréens, Petros a vécu en Érythrée, Éthiopie et au Kenya avant de venir s’installer au Canada. Le recoupement des cultures, voix et principes de cette constellation a produit une conscience dispersée, mondiale et transnationale dans ses positions et perspectives. Son travail artistique est une analyse introspective et riche qui porte sur les facteurs historiques derrière les conditions migratoires. Petros installe des photographies, des images en mouvement, des objets sculpturaux et des œuvres sonores selon des logiques performatives, picturales ou contextuelles. Alors que des dispositifs formels récurrents soulignent imperceptiblement l’environnement complexe dans lequel les projets de Petros sont installés, le visiteur, en allant d’une œuvre à une autre, fait écho au cheminement derrière la production de celles-ci.

Dawit L. Petros, né en Érythrée, vit et travaille à Montréal et à Chicago. Il détient une maîtrise en arts visuels de l’école du musée des beaux-arts à Tufts University, Boston, un baccalauréat en photographie de l’Université Concordia, Montréal, ainsi qu’un baccalauréat en histoire de l’Université de Saskatchewan. Dawit L. Petros a récemment exposé à l’University of Buffalo Art Galleries, Buffalo (2020), The Power Plant, Toronto (2020), au Musée d’art contemporain de Chicago, Chicago (2020), à Oslo Kunstforening, Oslo (2020), lors de la 13e Havana Biennial, Matanzas (2019), au Huis Marseille Museum for Photography, Amsterdam (2018), au Addis Foto Fest, Addis Ababa (2018), et à Prospect.4, Musée des beaux-arts de la Nouvelles-Orléans, Nouvelle-Orléans (2017). L’excellence de son travail a été souligné par de nombreuses distinctions, notamment par une bourse d’études indépendantes remis par le Whitney Museum of American Art, ainsi qu’une résidence d’artiste au Studio Museum in Harlem, New York. Dawit L. Petros aura sa première exposition solo à la galerie Bradley Ertaskiran en 2021.

Joseph Tisiga au Musée d’art de Joliette

Bradley Ertaskiran est fière de souligner l’exposition personnelle de Joseph Tisiga présentée au Musée d’art de Joliette du 3 octobre 2020 au 10 janvier 2021. Cette exposition a été élaborée sous le commissariat de Curtis Collins, directeur et conservateur en chef du Musée d’art Audain.

Somebody Nobody Was… [Quelqu’un que personne n’était…] est une exposition itinérante du Musée d’art Audain, un musée situé à Whistler, en Colombie-Britannique. Elle présente les plus récents fruits d’une démarche visant à bousculer les frontières culturelles associées au fait d’être issu d’une Première Nation au 21e siècle.

Site du Musée d’art de Joliette

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