Dawit L Petros représenté par Bradley Ertaskiran

Bradley Ertaskiran est ravie d’annoncer la représentation de Dawit L. Petros.

Le travail de Dawit L. Petros s’inspire de recherches portant sur le global modernisms, la diaspora et les études postcolonialistes. Au cours des dernières années, l’artiste s’est consacré à faire une relecture critique des relations qui lient le colonialisme au modernisme. Ces préoccupations découlent d’expériences vécues: né d’émigrants érythréens, Petros a vécu en Érythrée, Éthiopie et au Kenya avant de venir s’installer au Canada. Le recoupement des cultures, voix et principes de cette constellation a produit une conscience dispersée, mondiale et transnationale dans ses positions et perspectives. Son travail artistique est une analyse introspective et riche qui porte sur les facteurs historiques derrière les conditions migratoires. Petros installe des photographies, des images en mouvement, des objets sculpturaux et des œuvres sonores selon des logiques performatives, picturales ou contextuelles. Alors que des dispositifs formels récurrents soulignent imperceptiblement l’environnement complexe dans lequel les projets de Petros sont installés, le visiteur, en allant d’une œuvre à une autre, fait écho au cheminement derrière la production de celles-ci.

Dawit L. Petros, né en Érythrée, vit et travaille à Montréal et à Chicago. Il détient une maîtrise en arts visuels de l’école du musée des beaux-arts à Tufts University, Boston, un baccalauréat en photographie de l’Université Concordia, Montréal, ainsi qu’un baccalauréat en histoire de l’Université de Saskatchewan. Dawit L. Petros a récemment exposé à l’University of Buffalo Art Galleries, Buffalo (2020), The Power Plant, Toronto (2020), au Musée d’art contemporain de Chicago, Chicago (2020), à Oslo Kunstforening, Oslo (2020), lors de la 13e Havana Biennial, Matanzas (2019), au Huis Marseille Museum for Photography, Amsterdam (2018), au Addis Foto Fest, Addis Ababa (2018), et à Prospect.4, Musée des beaux-arts de la Nouvelles-Orléans, Nouvelle-Orléans (2017). L’excellence de son travail a été souligné par de nombreuses distinctions, notamment par une bourse d’études indépendantes remis par le Whitney Museum of American Art, ainsi qu’une résidence d’artiste au Studio Museum in Harlem, New York. Dawit L. Petros aura sa première exposition solo à la galerie Bradley Ertaskiran en 2021.

Joseph Tisiga au Musée d’art de Joliette

Bradley Ertaskiran est fière de souligner l’exposition personnelle de Joseph Tisiga présentée au Musée d’art de Joliette du 3 octobre 2020 au 10 janvier 2021. Cette exposition a été élaborée sous le commissariat de Curtis Collins, directeur et conservateur en chef du Musée d’art Audain.

Somebody Nobody Was… [Quelqu’un que personne n’était…] est une exposition itinérante du Musée d’art Audain, un musée situé à Whistler, en Colombie-Britannique. Elle présente les plus récents fruits d’une démarche visant à bousculer les frontières culturelles associées au fait d’être issu d’une Première Nation au 21e siècle.

Site du Musée d’art de Joliette

Afin de consulter le site web du Musée d’art de Joliette, veuillez cliquer ici.

Rick Leong à la Fondation PHI pour l’art contemporain – Exposition de groupe

Rick Leong est exposé à la Fondation PHI pour l’art contemporain dans le cadre de l’exposition de groupe RELATIONS: la diaspora et la peinture.

Cette exposition collective explore les significations multiples et complexes de l’idée de la diaspora, sa condition et ses expériences telles qu’elles s’expriment dans la peinture. «Les enjeux et concepts relatifs à la diaspora revêtent une importance particulière pour moi en tant que personne de couleur, née au Canada avec des origines mixtes asiatiques», affirme la commissaire et directrice générale, Cheryl Sim. Le vaste spectre des interprétations et des relations fructueuses rattachées aux expériences de la diaspora n’a pas de limites, ce qui favorise un dialogue constant avec les notions de parenté et d’identité dans le contexte actuel de mondialisation et de migrations massives.

Du 8 juillet au 29 novembre 2020

Pour consulter le site de la Fondation Phi, cliquez ici.

Shaan Syed représenté par Bradley Ertaskiran

Bradley Ertaskiran est ravie d’annoncer la représentation de Shaan Syed.

Le processus créatif de Shaan Syed cherche à investir différentes formes simplifiées par le biais de textures et de couleurs. De par son utilisation répétitive d’une palette spécifique, ses œuvres de grand format viennent graduellement développer des séries distinctes au fil des années. Les peintures de Syed deviennent l’objet d’une tension inhérente résultant du contraste entre les lignes abstraites de style hard-edge et une application gestuelle et personnelle de la matière. L’artiste superpose les couches de peinture, de sciures de bois et parfois même de plâtre sur la surface de la toile afin de construire une texture qu’il viendra par la suite éroder et contraindre entre des lignes et sections méticuleusement planifiées. Il inscrit souvent dans la matière son nom et certains mots en anglais et en arabe qu’il a documentés et collectés au fil du temps, gravant ainsi sa personne et son récit personnel dans la tradition de l’abstraction moderne. Shaan Syed a grandi au Canada dans une famille d’immigrants de première génération composée d’une mère britannique protestante et d’un père pakistanais musulman. Cette éducation lui a permis de comprendre comment les perceptions et points de vue peuvent évoluer selon le contexte personnel. L’artiste a récemment commencé à peindre de façon répétitive l’image de l’escalier, dont l’idée originale provient de l’immense minaret en spirale qui compose la Grande Mosquée de Samarra en Iraq.

« L’utilisation de marches m’est initialement venue comme un désir de diviser la toile. En la séparant ainsi, je crée une difficulté où il me faut réconcilier les deux côtés en un tout. J’étais attiré par l’image du minaret pour sa signification culturelle; une référence à mon éducation personnelle ainsi qu’un symbole pour exprimer la nature changeante des perceptions ».

– Shaan Syed

Shaan Syed est né à Toronto (1975), il vit et travaille à Londres, GB. Syed détient une maîtrise en beaux-arts du Goldsmiths College à Londres et un diplôme en beaux-arts de l’OCAD à Toronto. Syed a présenté plusieurs expositions solos récemment, notamment, Thank you India, Goodbye Pakistan, Hello England à FREEHOUSE, Londres, GB, Maghrib, Parisian Laundry, Montréal,  I & I à la Kunsthalle Winterthur, Suisse; Licking Forward Tangerine à noshowspace, Londres; et CAPITAL! à la Galerie Michael Janssen, Berlin. Il a participé à de nombreuses expositions de groupe dont The Other Side à la Power Plant, Toronto; Here au Musée Aga Khan, Toronto; Sam Windett and Shaan Syed à Patrick De Brock, Knokke; Manuel Graf and Shaan Syed à Herrmann Germann Contemporary, Zurich et The Violet Crab à la David Roberts Art Foundation, Londres. Il a reçu des prix et des bourses de la Fondation Pollock-Krasner, de l’Elephant Trust UK, du Arts Council England, du Conseil des arts du Canada, et de Jerwood Contemporary Painters UK. En 2018/19, Syed a fondé et géré le projet Aqbar dans un espace temporaire de l’East London. Les exposition solos à venir pour Shaan Syed incluent Nuno Centeno Gallery, Portugal.

Jessica Eaton rencontre Chris Hampton : un article publié par le Musée national des beaux-arts du Canada

À lire sur le site du Musée national des beaux-arts du Canada, Chris Hampton discute de la pratique de Jessica Eaton.

Le projet a démarré en partie, explique-t-elle, parce que l’artiste et théoricien Josef Albers, dans son important ouvrage L’interaction des couleurs, de 1963, a rejeté l’idée que le mélange additif était l’apanage des physiciens, et non des artistes. Albers a mené « l’étude la plus exhaustive sur la synthèse soustractive des couleurs de l’époque contemporaine », affirme Eaton, et donc son rejet pur et simple du mélange additif l’a frappée comme étant un défi. Elle a également été influencée par Paragraphs on Conceptual Art et Sentences on Conceptual Art, de Sol LeWitt, parus en 1967–1968, et en particulier par un énoncé à propos du travail à partir d’idées abstraites qui n’ont pas forcément de répertoire physique. LeWitt proposait de prendre une simple forme et de projeter sur elle, et qu’avec la répétition, l’idée pouvait devenir art. Le cube est devenu pour elle ce véhicule.

Chris Hampton

Le Musée des beaux-arts du Canada compte dans sa collection trois pièces de cette série, cfaal 306, cfaal 340 et cfaal 346.

Lire l’article en ligne sur le site du Musée national des beaux-arts du Canada

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Acquisition d’une œuvre de Luce Meunier par le Musée d’art contemporain de Montréal

Bradley Ertaskiran est heureuse d’annoncer l’acquisition d’une oeuvre de Luce Meunier par le Musée d’art contemporain de Montréal, soit Eau courante #4 (2018).

Cette oeuvre est présentée dans le cadre d’une exposition au Musée d’art contemporain sous le titre Des horizons d’attente. Cette exposition rassemble le travail de vingt et un artistes dont les œuvres, récemment acquises par le Musée, sont exposées pour la première fois. Elles témoignent de préoccupations politiques, féministes, sociales, esthétiques, matérielles, conceptuelles, spirituelles, écologiques, poétiques, linguistiques et identitaires propres à notre époque.

Pour consulter le site web de l’exposition, veuillez cliquer ici.

Pour consulter le profil de l’artiste, veuillez cliquer ici.

Janet Werner dans Border Crossings

À lire dans Border Crossings (Vol. 39 – no. 153) : Ana Osterweil signe ici un magnifique article qui porte sur l’exposition retrospective de Janet Werner, présentée du 31 octobre 2019 au 5 janvier 2020 au Musée d’art contemporain de Montréal.

Pour obtenir le numéro complet de Border Crossings, visitez leur site web ici.

Cliquez ici pour télécharger le PDF (en anglais).

Luce Meunier dans Esse, un compte-rendu par Anne Roger

À lire dans Esse (Vol.99 – Plantes) : Anne Roger signe ici un magnifique article qui porte sur l’exposition retrospective de Luce Meunier, présentée du 11 décembre 2019 au 26 janvier 2020 à la maison de la culture Claude-Léveillée à Montréal.

«Au lieu d’une présentation chronologique ou conceptuelle, l’exposition se distingue par une organisation sensible : un appel à l’émotion esthétique mais aussi à une célébration de la sérendipité, cet acte de faire par hasard des découvertes fructueuses. En se livrant à de nombreuses explorations techniques et par le biais d’un détournement volontaire, voire du refus des outils classiques, Meunier démontre tout à la fois sa capacité à constamment renouveler le langage de l’abstraction plastique mais aussi à poursuivre une trajectoire stylistique d’une grande cohérence dans des œuvres profondes et poétiques.» – Anne Roger

Lire l’article en ligne sur le site de Esse

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Joseph Tisiga – Prix Sobey pour les arts 2020

Bradley Ertaskiran est fière d’annoncer que Joseph Tisiga est l’un des récipiendaires du Prix Sobey pour les arts 2020.

Prix Sobey pour les arts – À propos

Remis chaque année, le prix récompense quelques-uns des jeunes artistes les plus talentueux de notre pays et leur offre une importante reconnaissance financière. 

Depuis son lancement en 2001, le Prix Sobey pour les arts a eu une influence indéniable sur la carrière de jeunes artistes contemporains au Canada. En un peu plus d’une décennie, ce prix et la publicité qu’il génère ont aussi contribué à faire connaître et apprécier l’art contemporain par le grand public au Canada.

Tradionnellement, un jury de conseillers en muséologie, comprenant un éminent représentant d’un musée pour chacune des cinq régions (la Côte Ouest et le Yukon, les Prairies et le Nord, l’Ontario, le Québec et les provinces de l’Atlantique) et un juré international, prépare une liste préliminaire de 25 artistes canadiens (cinq par région). Lors des éditions précédentes, le jury se réunit ensuite et dresse la liste des finalistes, qui comprend un artiste pour chaque région.

En 2020, ces 25 artistes canadien.ne.s d’exception recevront chacun.e 25 000 $ (CAN). L’engagement du Musée des beaux-arts du Canada et de la Fondation Sobey pour les arts est de revenir à un Prix annuel conforme à son déroulement habituel dès lors que les directives de santé publique permettront de le faire, mais pour cette année, l’exposition du travail des finalistes au Musée des beaux-arts du Canada, le gala de dévoilement des lauréat.e.s et le programme de résidences internationales ont été suspendus. 

Musée national des beaux-arts du Canada

Pour plus d’information, veuillez consulter le site du Musée national des beaux-arts du Canada en cliquant ici.

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