À lire dans Border Crossings (Vol. 40 – no. 156): Robert Enright s’entretient avec Shaan Syed dans le cadre d’une entrevue portant sur sa pratique artistique.
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À lire dans Border Crossings (Vol. 40 – no. 156): Robert Enright s’entretient avec Shaan Syed dans le cadre d’une entrevue portant sur sa pratique artistique.
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Publié dans La Presse, Éric Clément signe ici un article portant sur l’exposition There There de Janet Werner, présentée à la galerie jusqu’au 13 juin 2021.
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Jean-Michel Quirion signe ici un compte-rendu de l’exposition Oasis, publié dans le no. 262 de la revue Vie des Arts.
Les lignes esquissées ou façonnées laissent entrevoir de délicates matérialités. L’émail vitrifié sur le cuivre et les traits de fils d’argent en fluctuation s’entrelacent en des illustrations végétales. Des formes colorées – parfois très saturées – apparaissent entraperçues en arrière-plan, ou au contraire s’imposent au premier plan. Les procédés de réalisation des pièces aux surfaces spéculaires sont inexplicables tant les effets de réverbérations et les reflets constellés sont stupéfiants.
Jean-Michel Quirion
Bradley Ertaskiran est ravie d’annoncer la représentation de Stephanie Temma Hier.
Le travail de Stephanie Temma Hier se situe à l’intersection de la peinture et de la sculpture. L’artiste crée de méticuleuses peintures figuratives ayant pour sujet des fruits ou autres produits comestibles, qui sont par la suite logées dans des cadres en céramique complexes. Le vocabulaire pictural employé par l’artiste provient à la fois de vanités datant du siècle d’or néerlandais, d’images d’archives web ainsi que d’éléments de la culture pop. L’association des éléments du cadre et de la peinture crée de nouvelles interprétations, aussi riches en références historiques que légères dans leur appropriation de la culture populaire. La démarche d’Hier nous rappelle qu’aucune image ou concept n’existe sans contexte.
Stephanie Temma Hier (née à Toronto, Canada en 1992) vit et travaille aujourd’hui à Brooklyn (New York). Elle est titulaire d’un baccalauréat au Ontario College of Art and Design University (Toronto) et elle a suivi une formation à l’Academy of Art Canada (Toronto). L’artiste a présenté plusieurs expositions personnelles, notamment à Gallery Vacancy (Shanghai), Franz Kaka (Toronto), David Dale (Glasgow), Y2K Group (New York), Downs and Ross (New York) et Neochrome Gallery (Turin). Elle a participé à de nombreuses expositions collectives, telles qu’à Nino Mier Gallery (Los Angeles), Arsenal Contemporary Art (New York), Fisher Parrish (Brooklyn), Three Four Three Four (Brooklyn), Galerie Antoine Ertaskiran (Montréal), Thierry Goldberg (New York), la Galerie Plus One (Anvers), Anonymous Gallery (Mexico), Bureau (New York), The Kitchen (New York), Museo della Frutta (Turin), The Power Plant (Toronto), Art Gallery of Ontario (Toronto) et Johannes Vogt (New York). Hier fut finaliste du concours de peinture RBC en 2016 et 2018. Au cours de sa carrière, Hier a reçu de nombreuses subventions du Conseil des Arts du Canada et de la Fondation Elizabeth Greenshields. Elle a participé à des résidences à Hospitalfield (Écosse), Shandaken: Stormking (New York).
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Jérôme Delgado discute des œuvres collaboratives présentées dans le cadre des expositions Flotsam et Oasis, de Celia Perrin Sidarous et Marie-Michelle Deschamps respectivement.
Les deux amies avaient leurs solos programmés à cette enseigne en même temps — expos qui viennent d’être démantelées — et ont décidé de réaliser trois œuvres collectives. «On voulait que nos pratiques se rejoignent dans les espaces communs», raconte Marie-Michelle Deschamps, en parlant du hall d’entrée et des corridors.
Dans ces lieux «interstices», elles ont placé les œuvres Bouquet, marquées du motif floral. «C’est l’idée d’une offrande, d’un échange», explique Celia Perrin Sidarous. Deux de ces bouquets fusionnent la photographie propre à elle et le travail en céramique de sa partenaire, l’image de l’une posée sur un socle, des retailles en émail de l’autre par-dessus.
Jérôme Delgado, Le Devoir, 20 mars 2021
Publié dans The Boston Globe, Murray Whyte signe un article sur l’exposition Remainders d’Erin Shirreff, présentée au Clark Art Institute (Williamstown, MA, USA).
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Le Prix de photographie Banque Scotia vise à souligner les réalisations d’un artiste bien établi en milieu ou en fin de carrière et à le soutenir dans sa quête d’une plus grande reconnaissance nationale et internationale. Le Prix de photographie Banque Scotia est la plus importante et la plus prestigieuse récompense canadienne annuelle visant à reconnaître la contribution exceptionnelle d’artistes à la photographie et l’art contemporains.
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Le Clark Art Institute (Williamstown, MA) présente une exposition solo de l’artiste Erin Shirreff. Remainders est présentée du 16 janvier 2021 au 2 janvier 2022.
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À lire dans Le Devoir : Marie-Ève Charron signe ici un article qui porte sur l’exposition de Joseph Tisiga, présentée du 7 novembre au 19 décembre, 2020 à la galerie.
Pour l’artiste lauréat du prix Sobey en 2020, les récits personnels sont l’amorce d’une mythologie inventée à travers laquelle il explore la construction des identités culturelles, revisitant les images produites par le regard colonial ou des interactions entre Autochtones et allochtones.
Marie-Ève Charron
Bradley Ertaskiran est heureuse d’annoncer l’acquisition de ces deux oeuvres de Shaan Syed par le Musée des beaux-arts du Canada.
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gauche :
Double Minaret (with Sew Steps) 2, 2018
Huile sur toile cousue
294.5 x 244 cm (116 x 96 in.)
droite :
Double Minaret (with half sewn disk), 2018
Huile sur toile cousue
294.5 x 244 cm (116 x 96 in.)